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Photo du rédacteurEditions Non Nobis

Mieux connaître nos auteurs : Philippe Ballaux

Philippe Ballaux est l'auteur de "Lettre Ouverte aux Chrétiens d'Occident" qui sera disponible dans la semaine du 11 juillet 2022 "Comment se fait-il qu’après vingt siècles de christianisme, les portes de l’intériorité ne nous soient pas grandes ouvertes ?" est une des questions fondamentales qui animent cet essai qui sera fort probablement le préambule à de nouveaux ouvrages autour de ces questions qui dépassent le questionnement strictement Chrétien, et parlent de nos vies en ce siècle.


Quelques mots sur vous et votre parcours ?


Après des études secondaires au Collège Saint-Pierre (à Uccle), j’ai cumulé un Master en Philo & Lettres (UCL) avec un Baccalauréat en Droit (FUSL) .

J’ai également suivi diverses formations certifiantes (MBTI, A.T., PNL, PCM, etc.).


J’ai occupé des fonctions de DRH et Responsable de formation avant de créer mon Cabinet de Conseil & Formation en 1989.


En 2006, j’ai créé avec deux associés un centre de séminaires résidentiel : le Château de Chargé, situé en Touraine.

Nous y accueillons entreprises et particuliers pour des moments de retour sur soi, de travail et de convivialité.


Nous y proposons également des Ateliers ayant trait à diverses thématiques relevant de l’anthropologie spirituelle.



Parlez nous de votre livre “Lettre Ouverte aux Chrétiens d’Occidents”


Ce livre parle avant tout d’un étonnement : au regard de ce que les nations chrétiennes ont infligé au reste du monde en plus de vingt siècles de christianisme, peut-on dire qu’elles se soient réellement imprégnées de l’Esprit du Christ ? Ont-elles vraiment saisi son message ?


Peut-être faudrait-il relire les Pères qui proclament que nous sommes appelés à un chemin de divinisation : créés à l’Image de Dieu, il nous revient – en synergie avec l’Esprit Saint – de tendre vers la Ressemblance, jusqu’à ce que le Christ (qui n’est autre que l’archétype que nous avons à devenir) soit formé en nous (cf. Gal 4,19).


Telle est la Tradition qu’il m’apparaît urgent de (re)découvrir – et de vivre ! – en l’adaptant aux réalités de notre temps.



Quelles sont vos lectures, vos influences ?


Nombreux sont les auteurs dont je me suis nourri qui ont cherché à rendre compte de leur expérience spirituelle. Parmi les plus significatifs pour moi , j’évoquerais : Maître Eckhart, K.G. Durckheim, C.G. Jung, Annick de Souzenelle et tant d’autres !



Vos nouveaux projets en cours ?


Je nourris actuellement le projet d’un ouvrage que j’intitulerais : « De la Lumière incréée aux Lumières et… retour ! ».



Ecrire : pourquoi ?


Exprimer ma pensée par l’écriture me permet de la structurer, de la formaliser.


Ensuite, il s’agit d’un magnifique vecteur d’échange, de partage et, finalement, d’enrichissement mutuel.


J’ai 18 ans, quel conseil me donnez-vous pour la vie ?


« Connais-toi toi-même et tu connaîtras l’univers et les dieux ».

Cultive d’abord ton jardin intérieur, éveille ta conscience, affranchis-toi des conditionnements (familiaux, sociaux, culturels, religieux) qui entravent ta liberté d’être. Et remplis ton âme d’émerveillements multiples et d’une intense gratitude pour la vie qu’il t’est alors donné de vivre.



Un fait d'histoire important qui vous a marqué ?


J’avais dix ans quand Armstrong a marché sur la lune : je me rappelle avoir veillé, pour mon plus grand bonheur, pour assister en direct, de nuit, à cet événement historique.



Un pays, un peuple ?


Le destin de la terre d’Israël, si particulier dans l’Histoire de l’humanité, a quelque chose de fascinant. La lecture de « Ô Jérusalem » de Lapierre et Collins m’avait beaucoup impressionné dans mon adolescence.



Vous auriez aimé vivre à une autre époque que celle-ci ? Si oui, laquelle ?


Non. Pas vraiment.



Une passion ?


L’aviation mais aussi la voile.

L’anthropologie spirituelle ou encore la géopolitique.



Un livre sur une île déserte : lequel ?


L'Évangile selon saint Jean.



Un “coup de gueule” ?


La course au profit qui pervertit toutes les relations humaines au point de permettre – et parfois de causer par la spéculation sur les denrées alimentaires de base – la mort d’un enfant toutes les cinq secondes dans le monde !


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